Der Weg ins Morgenland
Dominique Ziegler
Deutschsprachige Erstaufführung
Résumé
Une situation d’interrogatoire qui ressemble à un polar: Deux hommes dans un commissariat. L’un est policier, l’autre est soupçonné de vouloir rejoindre un groupe terroriste; l’un défend les opportunités offertes par notre société, l’autre illustre une jeunesse pétrie de désillusions. Alors les deux hommes s’engagent dans un interrogatoire tendu, dans lequel chacun tente de donner le change pour déstabiliser l’autre. Leurs visions du monde occidental se confrontent et s’affrontent. Le jeune homme déclare sans ambages que pour lui les idées et les valeurs de l’islamisme sont justes et vraies, et ce faisant il se montre naïf et agressif. Il semble dissimuler un secret que le policier essaie de découvrir avec une sérénité chaleureuse. Très patiemment, il tente de créer une base de confiance pour que le jeune homme s’empêtre dans ses contradictions. Mais l’interrogatoire prend un tour inattendu.
«Der Weg ins Morgenland» («La Route du Levant») traite le problème d’actualité: Quels facteurs incitent de jeunes personnes à s’engager pour des idées violentes et radicales?
Dominique Ziegler est né en 1970 à Genève, il est un auteur de théâtre et metteur en scène suisse. La pièce «Der Weg ins Morgenland» («La Route du Levant») a déjà été jouée avec succès en France, en Belgique et à Genève.
Spectacle en allemand - Avec des surtitres en français à Bienne.
Traduit par Anna Magdalena Fitzi
Introduction à l'œuvre (en allemand) 30 minutes avant la représentation
Durée
env. 80 minutes (pas d'entracte)
Culture inclusive
Les représentations du 26 octobre à Bienne et du 03 novembre à Soleure se dérouleront avec un interprète de langue des signes (Langue de signes suisse allemand / Deutschschweizer Gebärdensprache). Des sièges appropriés pour bien voir l’interprète de langue des signes peuvent être réservées à la caisse.
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Commentaires de presse
«Regisseur Robin Telfer verlässt sich in diesem Kammerspiel ganz auf die beiden Schauspieler Günter Baumann und Matthias Schoch, die wie in einem Zweikampf das Stück seinem unweigerlichen Ende zuführen. Keine Minute der Entspannung, kein Wort zu viel oder zu wenig. »
Fränzi Zwahlen-Saner, Solothurner Zeitung, 23.09.2019