Le Bal
nach einer Idee von Jean-Claude Penchenat und dem Théâtre du Campagnol
Schweizer Erstaufführung
Résumé
De la grève générale aux Émeutes du Globus, de DADA à Caterina Valente, de «La barque est pleine» à «Make love not war» – les 100 dernières années de l’histoire de la Suisse sont riches en grands et petits évènements, en tragédies personnelles et développements specta-culaires. La salle de bal fait l'expérience de tout. Elle voit les gens aller et venir et est un lieu de refuge et de distraction, de plaisir et de dévouement. Les danseurs revivent un siècle d’histoire dans cette salle de bal.
«Le Bal» est un spectacle sans paroles, un voyage dansé à travers cent d’histoire Suisse. La pièce a été créée en 1981 par Jean-Claude Penchenat et le Théâtre du Campagnol. Deux ans plus tard, le réalisateur Ettore Scola l’a adaptée pour le cinéma. Théâtre Orchestre Bienne Soleure présente «Le Bal» pour la première fois en Suisse, Deborah Epstein (mise en scène) et Florian Barth (scène et costumes) ont adapté la pièce pour l’historiographie helvé-tique. Cette équipe de direction est déjà bien connue du public du TOBS. Epstein et Barth ont notamment présentés ces dernières saisons la pièce sur Peter Bichsel «Mit wem soll ich jetzt schweigen?», la soirée Robert Walser «Die Wärme sollte kälter und die Kälte wärmer sein» ainsi que «Verweile doch, du bist so schön». Leur nouvelle production «Le Bal» se déroulera sans paroles, la musique et la danse guideront la pièce. Ce spectacle s’adresse donc à un public particulièrement large, au-delà de la langue maternelle et de l’origine.
Introduction à l'œuvre (en allemand) 30 minutes avant les représentations.
Les représentations du 20 janvier et du 03 février sont réservées aux authorités.
Durée
2 heures 15 minutes (entracte inclus)
Avec le soutien de
Elisabeth Bachtler Stiftung
Freunde des Stadttheaters Solothurn
Schweizerische Interpretenstiftung
TOBS VIP Club 360
Tharice Foundation
Commentaires de presse
«Une forme qui, pour ne comporter presque aucun texte, est accessible aussi bien aux Romands qu’aux Alémaniques.»
Adrian Vulic, Le Journal du Jura, 04.01.2019