Dancefloor
Une ouverture de saison folle de tempérament: les «Three Dance Episodes» tirées de la comédie musicale new-yorkaise «On the Town» de Bernstein et la Symphonie en ut de Bizet encadrent «Dancefloor With Pulsing» de Régis Campos. Le thérémine, instrument aux sons sphériques et envoûtants fait son entrée. Cet instrument a pour particularité de se jouer sans contact physique, les mouvements de mains contrôlant la hauteur et le volume grâce à des ondes électromagnétiques. Une véritable découverte!
Lost in the Stars
Ironie et mélancolie: le spectre musical de Kurt Weill s’étend de la critique sociale sagace, teintée d’humour, aux mélodies mélancoliques. La symphonie en do majeur de Bizet constitue un contrepoint à cette musique, une œuvre de jeunesse mûre aux mélodies rayonnantes et à l'expression riche. Nous vous invitons à un après-midi plein de contrastes musicaux et d'émotions!
Lost in the Stars
Ironie, mélancolie et danse: le spectre musical de Kurt Weill s’étend de la critique sociale sagace, teintée d’humour, aux mélodies mélancoliques. Dans «La Gaîté parisienne», Offenbach utilise notamment la danse pour engendrer une ambivalence similaire, où joie de vivre et légèreté se mêlent à un humour subtilement subversif. Une soirée divertissante et enrichissante!
Eroica
Lors de cette soirée, l’alto prend toute sa place pour briller en tant qu’instrument soliste. Jost Meier le célèbre dans son Concerto pour Alto, Luciano Berio le met en lumière dans son arrangement de la première Sonate de Brahms. Entre équilibre magistral des familles d’instruments et richesse musicale, la Symphonie n° 3 de Beethoven conclut magistralement la soirée.
Amadeus sous le sapin
Quand Noël rime avec surprise! En plus du rayonnant Mozart, deux compositrices de son époque, méconnues de nos jours, Marianna von Martines et Emilie Mayer sont à découvrir. Une soirée pour apporter charme et éclat à la période des fêtes.
Amadeus unterm Tannenbaum
Quand Noël rime avec surprise! En plus du rayonnant Mozart, deux compositrices de son époque, méconnues de nos jours, Marianna von Martines et Emilie Mayer sont à découvrir. Une soirée pour apporter charme et éclat à la période des fêtes.
Concert du Nouvel An
Le concert du Nouvel An est cette fois-ci placé sous le signe du «violon du diable», en la personne de Niccolò Paganini. Que ce soit en tant que compositeur de concertos à la virtuosité démente ou comme personnage principal d'une opérette de Lehár, Paganini demeure l’une des figures les plus fascinantes du monde musical. Avec le charismatique violoniste Andrey Baranov, la soirée dirigée par Yannis Pouspourikas se promet d’être absolument endiablée!
Concert du Nouvel An
Le concert du Nouvel An est cette fois-ci placé sous le signe du «violon du diable», en la personne de Niccolò Paganini. Que ce soit en tant que compositeur de concertos à la virtuosité démente ou comme personnage principal d'une opérette de Lehár, Paganini demeure l’une des figures les plus fascinantes du monde musical. Avec le charismatique violoniste Andrey Baranov, la soirée dirigée par Yannis Pouspourikas se promet d’être absolument endiablée!
Österreich-Ungarn
Un concert riche de diversité: pleines d’entrain, les danses de Marosszék de Zoltan Kodály et le 1er Concerto pour violon enflammé de Béla Bartók rendent hommage aux couleurs hongroises, tandis que la Symphonie n° 38 «Prague» de Mozart, précédée d’une ouverture de sa contemporaine Emilie Mayer, nous transportent avec élégance dans le classicisme viennois. Un voyage à travers les styles et les époques, pour une soirée marquée par les contrastes et le raffinement musical.
Mozart und Gulda
La «Symphonie de Prague» de Mozart et une ouverture d'Emilie Mayer nous transportent dans le classicisme viennois. Friedrich Gulda, l'un des plus grands interprètes de Mozart, a créé le concerto pour violoncelle qui suit, l'œuvre est accompagnée par une formation orchestrale non conventionnelle et réunit des éléments allant du baroque au jazz en passant par la pop. Le programme parfait pour un dimanche après-midi!
Printemps
Un avant-goût de printemps! Deux chefs-d’oeuvre: le 2e Concerto pour piano de Chopin qui enchante par la profondeur et la passion de ce jeune compositeur romantique. Un morceau de bravoure pour tous les pianistes! Il est suivi par la 1ère Symphonie de Schumann, écrite en hiver en seulement quatre jours. Elle s’inspire des «désirs printaniers» après ses propre noces. Aujourd’hui encore, on ressent comment la nostalgie du printemps sait s’animer musicalement.
America
De puissantes voix venues de d’Amérique: la revendication de Joan Tower en faveur de femmes «non conventionnelles» est suivie du Concerto pour violon de Korngold, qui enchante par sa passion et sa virtuosité. La musique de Florence Price, alliant les traditions afro-américaines à l’art classique, précède celle de Duke Ellington où l’histoire et la culture se rejoignent dans de merveilleux récits jazzy. Une célébration de la diversité musicale américaine!
Suspense
Une soirée pleine de tension: quoi de plus dramatique que l’Ouverture du «Don Giovanni» de Mozart? Elle est suivie du Concerto pour violoncelle de Chostakovitch envoûtant par son intensité et son expression dramatique. Le Ricercare à 6 voix de Bach, dans l’orchestration de Webern, apporte une couleur sonore absolument nouvelle à ces harmonies déjà captivantes. Enfin, la Symphonie n° 25 de Mozart conclut toute en puissance avec ses tonalités étonnamment sombres et vigoureuses.
Suspense
Une soirée pleine de tension: quoi de plus dramatique que l’Ouverture du «Don Giovanni» de Mozart? Elle est suivie du Concerto pour violoncelle de Chostakovitch envoûtant par son intensité et son expression dramatique. Le Ricercare à 6 voix de Bach, dans l’orchestration de Webern, apporte une couleur sonore absolument nouvelle à ces harmonies déjà captivantes. Enfin, la Symphonie n° 25 de Mozart conclut toute en puissance avec ses tonalités étonnamment sombres et vigoureuses.
Polen
Comment sonne l’âme de la Pologne? L’Ouverture de Grażyna Bacewicz, écrite sous l’occupation allemande, ouvre la soirée, suivie du Concerto pour piano de Paderewski, à la fois virtuose et romantique. Tchaïkovski quant à lui fait revivre la Pologne à sa façon: sa Symphonie n° 3 mêle les influences Beethoveniennes à la musique populaire polonaise. Point culminant de la soirée: son final entraînant de danse polonaise.
Swiss Made
Une flamboyante fin de saison aux accents suisses! Paderewski et Wagner, ayant tous deux vécu en Suisse, l’Ouverture de Paderewski, suivie des Wesendonck-Lieder de Wagner occupent la première partie du programme. S’ensuit la «Faust-Ouvertüre» de Wagner créée à Zurich. Le Concerto grosso n° 1 de Bloch présente le compositeur suisse comme bâtisseur de ponts entre tradition et modernité.